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Randonnées en moto : connaître les risques

Les conditions météorologiques, avantages et inconvénients

Les jours de pluie rendent la conduite assez difficile. Imaginez ce scénario. La route est glissante, les essuie-glaces ne fonctionnent pas et la pluie brouille votre vision. Les commandes de votre moto sont trempées. Quelle agonie !

Certes, le temps pluvieux invite à des résultats grotesques. Votre pied peut glisser de la pédale. Votre doigt peut glisser sur le levier d’embrayage. Ainsi, votre contrôle sur la moto est affecté.

Le désagrément est un peu moins important lorsque vous voyagez dans des conditions venteuses. Lorsque de forts vents latéraux soufflent, le motard doit faire un écart pour compenser. Le vent peut faire courir un risque sérieux au motard. Ajoutez à cela un déversement d’huile. Maintenant, vous pouvez tripler le risque.

La meilleure condition météorologique pour conduire est un temps ensoleillé lorsque le soleil est permissif. Bien que cette condition puisse vous faire transpirer abondamment, elle reste la meilleure condition météorologique. Des risques limités sont synonymes d’aventure et de plaisir. Tout ce que vous avez à faire est de rouler et de profiter ! De grandes possibilités s’offrent à vous !

Apprendre à gérer les risques

Outre la météo, un motard doit tenir compte de la gestion des risques. Qu’est-ce que cela signifie ? Tout simplement, la gestion des risques consiste à comprendre et à contourner les risques. Pour ce faire, le motard doit connaître les tenants et aboutissants de la conduite, les limites physiques, environnementales et véhiculaires.

La gestion des risques peut se manifester par l’utilisation de vêtements et de pièces de moto de qualité et par une formation adéquate à la conduite. En outre, les motocyclistes qui pratiquent la gestion des risques sont moins susceptibles de subir une collision. Par conséquent, ils bénéficient d’une conduite sans problème.

La gestion du risque comporte trois étapes :

  • La première étape consiste à reconnaître l’existence des risques. Les dommages matériels ainsi que les blessures et les décès de personnes peuvent être le résultat d’une mauvaise conduite.
  • La deuxième étape consiste à gérer ces risques. C’est une compétence qui s’apprend. Les débutants peuvent tâtonner en matière d’évaluation. Ils doivent donc faire des efforts pour améliorer leurs compétences. L’utilisation d’équipements de protection est une manifestation d’une bonne évaluation.
  • La dernière étape est la reconnaissance des risques. Un coureur ne peut pas éviter un risque s’il ne l’a pas d’abord reconnu. Il existe deux types de risques : les risques subjectifs et les risques objectifs.

Les risques subjectifs sont ceux qui sont inhérents à l’attitude du motocycliste. Les risques objectifs, quant à eux, sont provoqués par l’environnement, la route et les conditions du véhicule.

La gestion des risques doit être un effet naturel de la pratique de la moto et doit être maintenue en permanence.

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